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dimanche 14 juin 2009

Projet RDCongo / Rwanda de production d'électricité dans l'est de la RDC.

La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda vont exploiter en commun un gisement de gaz méthane dans le lac Kivu, dans l'est de la RDC, pour produire de l'énergie électrique, a-t-on appris vendredi de la Société nationale d'électricité (SNEL) congolaise.Le projet, d'un coût d'environ 300 millions de dollars selon des premières estimations, permettrait aux deux pays de produire ensemble 200 mégawatts, dans un premier temps, a déclaré à l'AFP le président du conseil d'administration de la SNEL, Eugène Serufuli Ngayabaseka.
L'exploitation pourrait débuter avant fin 2009."Les conclusions satisfaisantes de l'expérience rwandaise d'exploitation du gaz méthane pour produire de l'électricité ont convaincu les autorités congolaises de la nécessité de se servir d'un tel projet pour le lac Kivu", frontalier aux deux pays, a expliqué M. Serufuli.Selon lui "ce gisement peut produire 700 MGW pendant 55 ans, sans compter les régénérations du gaz". En 2002, le potentiel exploitable de gaz méthane dans ce lac était estimé à 50 milliards de m3.Un comité d'experts congolais et rwandais chargés du suivi et de la surveillance du lac Kivu doit être mis en place d'ici juillet.
La RDC a un des plus bas indicateurs de consommation d'énergie du monde, avec un taux d'électrification de 6% comparé à une moyenne africaine de 20%, selon la Banque africaine de développement (BAD).Faute d'investissements et du fait de la croissance démographique, la consommation d'électricité par habitant est passée de 161 kilowatt/heure en 1980 à 91 kWh en 2002.La RDC dispose d'un énorme potentiel énergétique pour l'hydroélectricité, représentant quelque 35% du potentiel global du continent africain, mais qui est quasiment inexploité.
Infos AFP tirées de Romandie.com

Portrait de Joël Kalumba

Joël Kalumba Nundo est né le 23 Décembre 1979 au Katanga ; à Pweto, ville située à plus de 400 kilomètres de Lubumbashi. Il est fils d'un éminent professeur de Français, Monsieur Nundo Kalumba (surnommé Speaker, pour son éloquence dans la langue de Shakespeare), ancien Administrateur du Territoire de Pweto lors de l'Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo ;(A.F.D.L en sigle) et de Kanama Mujinga, aide-accoucheuse de renom dans l'aire de santé Kilwa-Pweto.
Il a fait ses études primaires et secondaires à Pweto. Après une année de prestation dans l’enseignement, il a poursuivis les études universitaires à l'Université de Lubumbashi. Joël Kalumba est Licencié en Psychologie du travail ; orientation : psychologie commerciale et économique. Un homme Calme, Sociable, Clairvoyant, Humaniste. Il a cependantd'autres valeurs humaines : loyauté, gout du beau, moralité, assiduité, tempérament équilibré. Joël aime les documentaires et la nature.Il a été gérant – principal de Bonhomme S.P.R.L.
Joël est aussi chercheur indépendant, il a réalise des recherches avec les Médecins Sans Frontières-Belgique dans l’aire de sante de Kilwa-Pweto sur la santé publique et a fait également des recherches en équipe sur les viols a Lubumbashi en collaboration avec le ministère provincial de l’environnement, sport et condition féminine et famille du Katanga. Il aime la politique, le sport notamment le football, le basketball et le rugby. Il est aussi un grand internaute.

Santé : Présence d'une fausse quinine sur le marché en R.D.Congo.

Le ministère de la Santé de la République Démocratique du Congo (RDC) met en garde la population congolaise contre l'achat sur le marché du médicament contrefait "Quinizen 20%", qui serait de la fausse quinine, selon un communiqué du gouvernement transmis vendredi à la PANA à Kinshasa.
Selon le ministre congolais de la Santé, Auguste Mopipi, "ce produit qui est vendu dans les rues de Kinshasa, dans certaines pharmacies de la capitale et même à l'intérieur du pays, est dangereux pour les enfants, ne guérit pas le paludisme mais aggrave et complique plutôt la situation des malades"."Ce produit est identifié sous le numéro lot8L- 217, avec comme date de fabrication novembre 2008 et d'expiration octobre 2011. Le flacon est en plastique blanc opaque. Le dosage est de 5.96%, la tuile en carton porte le défaut d'impression ainsi que la superposition des images et des écrits", précise le ministre.

La dite quinine pédiatrique contrefaite a été calquée sur le modèle de la quinine sirop de 100 ml, fabriquée par la firme Zenuphar, qui a dénoncé cette contrefaçon.L'analyse des échantillons de ce produit contrefait effectuée à Kinshasa, au département d'analyse et de contrôle de qualité du laboratoire de cette firme pharmaceutique, a indiqué que la "Quinizen 20%" ne répond pas aux normes pharmaceutiques.Le ministère de la Santé a mis sur pied une commission d'enquête pour démanteler le réseau des fabricants de ce faux produit.


Infos tirées de Afriquejet.com

Lubumbashi : réhabilitation des bâtiments de l’aéroport de la Luano.

Les travaux de réhabilitation des bâtiments de l’aéroport international de la Lwano ont repris depuis quelques jours. Ces travaux, exécutés par deux compagnies d'aviation, avaient été suspendus pendant trois mois par la direction générale de la Régie des voies aériennes, RVA.
Selon le commandant de la RVA Lubumbashi, le gros des travaux consiste en la construction des trois grandes salles d’attente de type moderne ainsi que de nouvelles latrines répondant aux normes internationales de l’aviation civile.A l’arrivée à l’aéroport de la Luano, le premier est que les murs du grand bâtiment sont peints en rose. Plus de bousculades à l’entrée, les odeurs nauséabondes des toilettes ont disparu. Quelques passagers rencontrés sur place indiquent que le bâtiment de l’aéroport international de la Luano est en train de revêtir sa nouvelle robe. « Je viens de voir des écrans là-bas. Il y a des sièges, les passagers trouvent maintenant des places pour se mettre en attendant les vols », témoigne l’un d’eux.
Construits vers 1954 à l’époque coloniale, l’aéroport international de la Luano, ses bâtiments, ne répondaient plus aux normes internationales. Voilà qui justifie les travaux de réhabilitation entrepris dans le cadre d’un accord entre la RVA et deux compagnies d’aviation sud africaines.Le coût de ces travaux n’est pas connu, selon le commandant Gédéon Mangolopa de la RVA Lubumbashi : « Les passagers des vols étrangers ne peuvent pas être ensemble avec les passagers des vols nationaux. Nous sommes en train d’aménager pour séparer les passagers. Il en est de même à l’arrivée, les passagers qui arrivent ne doivent pas croiser ceux qui partent. Par ailleurs, une entreprise de communication de la place a remis à la RVA, il y a trois jours, 50 chariots de bagages.


Infos tirées de Radiookapi.net

Passeports biométriques: l’obtention dans les provinces va encore attendre, sauf au Katanga.

L’ouverture des centres d’enregistrement pour l’obtention des passeports biométriques à l’intérieur du pays n’a pas eu lieu le 01 juin comme prévu. Faute de locaux. Seule la province du Katanga, dont les quatre districts sont déjà dotés de ces infrastructures recevra le matériel nécessaire pour la délivrance du nouveau passeport, rapporte la radio onusienne Okapi.
Ce sont, en principe, les gouvernements provinciaux qui devaient aménager les bureaux dans tous les chefs-lieux de district de leurs entités pour permettre le démarrage de ces opérations.
A ce jour, selon le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Bertin Kanunu, seule la province du Katanga a rempli cette condition. « Concrètement, j’ai reçu l’instruction du ministre de déployer le matériel au Katanga, tout simplement parce que le gouverneur de cette province a confirmé que des locaux existent, et pour cela, le ministère va déployer au cours de ce mois du matériel au Katanga », a-t-il indiqué avant d’appeler les gouverneurs d’autres provinces à emboîter le pas à leur collègue du Katanga.
Pour le secrétaire général Kanunu, la question n’est pas tant le déploiement des kits par son ministère dans les provinces, que la disponibilité des locaux nécessaires à cette fin. Il explique : « Le ministre des Affaires étrangères avait écrit aux gouverneurs, à travers le ministre de l’Intérieur, depuis bientôt deux mois, pour demander des locaux. Vous savez que le matériel que l’on doit déployer dans des centres à l’intérieur, c’est du matériel très sensible qui nécessite des locaux très sécurisés.

Infos tirées de Radiookapi.net

Une maladie non identifiée fait rage à Sandoa au Katanga.

Cette maladie non encore identifiée, mais qui se caractérise par la diarrhée, le vomissement chez les enfants de moins de cinq ans, a déjà tué cinq personnes dans la province du Katanga plus précisément à Sandoa non loin de Lubumbashi.
Depuis quelque temps, l’on enregistre à Sandoa, à 800 Km de Lubumbashi, de cas d’une épidémie que les personnels médicaux n’arrivent pas à identifier. Cette maladie qui touche des enfants à bas âges (moins de 5 ans) se signale par des vomissements et la diarrhée.Selon notre consœur Radio Okapi.net, qui a livré cette information dans son édition de jeudi, le médecin directeur de l’hôpital général de Sandoa, Charles Kapend, joint au téléphone a expliqué que sur les quinze malades recensés, cinq ont déjà trouvé la mort en 48 heures.
Le docteur Charles Kapend a, par ailleurs, indiqué que d’autres investigations sur l’état de selles et des examens bactériologiques pour voir s’il y a des germes pathogènes sont en cours et que la prise en charge des malades pose problème.Il a, par la suite, affirmé qu’ils ne disposent pas encore des vaccins suffisants pour protéger les enfants contre cette maladie. Ils se limitent aux prescriptions afin que les malades se procurent les médicaments dans les pharmacies de la cité.Le médecin directeur de l’hôpital général de référence de Sandoa a, par la suite, indiqué que dans un premier temps, l’autorité sanitaire locale a décidé de sensibiliser la population sur quelques mesures préventives.

Infos tirées de Digitalcongo.net

Décentralisation : la « retenue des 40% des recettes à la source » continue à diviser les provinces.

L’atelier de validation du cadre stratégique de mise en œuvre de la décentralisation en RDC s’est achevé jeudi soir à Kinshasa. L’objectif était de produire une sorte de une feuille de route de la décentralisation, de la campagne de sensibilisation de la base à l’élection des responsables des entités décentralisés. Pendant 5 ans, tous les fondements seront mise en place, avant d’être évalués pendant 5 autres années. Mais une question, divise encore les gouverneurs des provinces et présidents des Assemblées provinciales présents à cet atelier. C’est la retenue à la source des 40% des recettes des provinces, note radiookapi.net.
Le président de l’Assemblée provinciale du Katanga, par exemple, souhaite qu’elle soit immédiate. Pour Gabriel Kyungu wa Kumwanza, la constitution n’a pas prévu de délai avant de commencer cette retenue. Donc, selon lui, elle doit être immédiate : « Nous avons mis l’accent sur un point important, c’est que la constitution de notre pays, qui prévoit la récupération à la source des 40% des recettes nationales, n’a pas donné de délai. C’est une façon de décourager notre population… Mais enfin, mon Dieu, allons droit d’abord à l’essentiel ! Les textes des lois, les procédures, les procédés juridiques qu’on peut imaginer passe d’abord par l’application immédiate de la disposition constitutionnelle sur la récupération à la source des 40% des recettes nationales. Les recettes sont entrain d’être produites. Elles n’attendent pas tout ce long processus auquel on fait allusion. »
Mais le Conseiller juridique et administratif au Ministère de la décentralisation et aménagement du territoire du gouvernement central réfléchit autrement.Gilbert Kyatsinge pense que la retenue à la source de ces 40% n’est pas possible pour dans l’état actuel des choses : « Nous étions dans la même commission. Et même en plénière, on a du constater que le gouverneur des provinces eux-mêmes n’émettent pas sur la même longueur d’onde sur la question des 40%. Si aujourd’hui le Katanga exige la retenue à la source des 40%, c’est parce qu’elle sait qu’elle a l’avantage d’avoir une frontière nationale.
Tous les produits qui sont destinés au Kasaï par exemple, qui entrent par le Katanga, les frais de douane sont perçus au Katanga. C’est donc considéré comme une recette du Katanga alors que les produits sont destinés à être consommés au Kasaï. Le Kasaï va connaître un manque à gagner parce qu’on dira que le Kasaï n’a pas produit. On va lui rétrocéder quoi ? »Dans l’état actuel des choses, conclut Gilbert Kyatsinge, la retenu des 40% à la source n’est pas possible à cause des questions particulières à résoudre pour chaque province-source.

Infos tirées de Radiookapi.net

Koffi Olomidé nommé Ambassadeur de l'Unicef.

L’artiste musicien congolais Agbepa Mumba Antoine dit Koffi Olomide, président leader du groupe Quartier Latin International est devenu désormais un grand citoyen du monde en matière de protection de l’enfance. Il vient d’être nommé Ambassadeur de l’Organisation des Nations Unies pour l’enfance, Unicef en sigle.
Il a décroché son titre honorifique international le mercredi dernier en Tanzanie, précisément à Dar-es-Salam via Kenya où il a passé trois jours avant de regagner la capitale kinoise hier vendredi dans la soirée. cette information nous la tenons d’un de ses proches collaborateurs Didier Nsiku .
Ce titre va permettre à Mopao Mokonzi de parcourir le monde tranquillement en vue de protéger les intérêts des enfants. Pour ce qui est des activités du groupe, les séances de répétitions ont repris normalement à l’endroit habituel, Espace BAUDINO EXTENSION II localisé dans la commune de Lingwala. Une tournée en Afrique Orientale est annoncée avant le concert culturel de Paris pour lequel Koffi compte se faire accompagner d’une équipe de dix musiciens.
Infos tirées de Kongotimes.info

Moise Katumbi est pour une liberté d'expression responsable

Le gouverneur est pour une liberté d’expression responsable .
A son retour à Lubumbashi, le chef de l’exécutif provincial s’est exprimé sur le point de presse que devaient tenir quelques hommes politiques supposés relever la mégestion dont il serait l’auteur sur la province du Katanga. « Nous sommes dans une démocratie et par conséquent nous devons accepter que nos actions soient critiquées. Par contre, nous n’apprécions pas des accusations gratuites, mais qu’ils apportent leurs preuves. Ceux qui veulent tenir des points de presse n’ont qu’à le faire, s’ils sont sûrs d’apporter des preuves sur les propos qu’ils tiennent », a indiqué Moïse Katumbi. « Mais il ne faut pas chercher à séparer des frères pour rien dans le souci de mettre du désordre dans la province », a-t-il poursuivi. a
Le gouverneur qui s’est dit démocrate soutient qu’il préfère que les gens s’expriment librement. « S’ils ont des preuves que le gouverneur vole de l’argent, qu’ils tiennent leur point de presse et étale ce vol sur la place publique à travers les médias. On n’a jamais mis des journalistes en prison ou au cachot », soutient le gouverneur Katumbi.
Après cet entretien avec la presse à l’aéroport international de la Luano, la nuit tombante, Moïse Katumbi s’est dirigé vers l’avenue Lumumba et la chaussée Mzee Laurent Désiré Kabila pour se rendre compte de l’état d’avancement des travaux de bétonnage de ce tronçon.
Infos tirées de Nyota.net