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jeudi 18 juin 2009

Économie mortifère et lutte contre la survie en RDC (Par Delphin Kaimbi Mpyana)

En cette période de mondialisation, il est opportun d'examiner des économies du Tiers-monde, surtout dans les milieux urbains connectés directement au monde extérieur. C'est dans cette optique que nous écrivons le présent article. Certes le système capitaliste mondial basé sur la division internationale du travail ne favorise pas l'épanouissement mais encore le développement des pays du Tiers-monde.
Cela nous le remarquons en République Démocratique du Congo avec son économie greffée sur la division internationale au travail. Aussi après observation, nous sommes arrivés à conclure que l'économie en RDC, loin de résoudre l'équation principale "besoin-rareté" et ainsi que créer des richesses à même de satisfaire chaque homme, est passée pour une économie mortifère.
Elle est mortifère parce qu'elle fonctionne selon le principe de "chaque homme est comme tous les autres hommes", aussi pour cette économie, les congolais ressentent les mêmes besoins et selon les proportions égales que les Européens, les Américains, les Asiatiques, les Océaniens. Et toutes les opérations économiques sont soumises à ce principe là. Produire pour l'homme universel, consommer en fonction de l'homme universel, circuler, repartir, investir en prenant en compte l'homme de partout.
Par ailleurs, le fromage de Belgique, le vin de France, le lait d'Hollande... peuvent être consommés dans les villes de la R.D.C ainsi que dans les mileiux très reculés du pays, bien que les produits de consommation préférés peuvent être les besoins indiqués à base des plantes locales et les cossettes de manioc grillés associés aux arachides.
En effet, le gros de commerçants au Congo n'ont comme activité principale l'importation des biens fabriqués pour la satisfaction de l'homme de partout. Ceci a comme conséquence le rejet de la monnaie locale au profit d'un équivalent universel "le dollars, monnaie de reférence et d'importation". Ainsi la satisfaction des besoins dans une telle économie est soumise à la possibilité d'acquérir la monnaie de reférence. Dans une telle économie mortifère une grande catégorie de la population se trouve affectée.
Et pour lutter contre les mécanismes socio-enthanasiques de cette économie de survie qui est à la base de ce qu'on nomme les marchés pirates. Dans ces marchés, l'ordre, le loi, n'existent pasIl est question ici d'habileté et d'ingéniosité de la part des victimes de cette économie. Ces marchés naissent soit tôt le matin, soit tard le soir, soit alors à une heure précise et à des différents endroits selon l'horaire de sortie ou d'arrivée des travailleurs de l'administration ou des entreprises ciblées.
À défaut, il n'est pas surprenant de voir des mamans, visages sereins, sourires jaunes aux lèvres, déposer leurs produits maraîres ou ceux de leurs ceuillettes (chenilles) devant les entrées des magasins de la ville et ainsi commencer les opérations habituelles d'achat-vente.C'est certainnement une façon de dire "nous aussi nous voulons vivre selon nos besoins et nos besoins et nos préoccupations quotidiennes".
À plusieurs reprises l'État tente de mettre fin à cette économie de survie sans y parvenir. Les marchés pirates sont une réponse à cette économie qui ne tient pas compte des besoins particuliers des congolais. C'est une économie d'exclusion caractéristique d'ailleurs des économies du Tiers-monde et surtout de l'Afrique sud-saharienne.
Qui pourra alors relever le défi de ces économies mortifères? Est-ce la mondialisation ou les États Africains inscrits dans la spécialisation du travail international?
Source : espritcritique.fr

Portrait de Moïse Katumbi Chapwe,Gouverneur du Katanga.

Moise Katumbi chapwe est né le 28 décembre 1964 à Kashobwe, aux environs du lac Moero, est un homme d’affaires et homme politique congolais. Il est le gouverneur élu de la province du Katanga en République démocratique du Congo depuis février 2007.
Katumbi est membre du parti de l'Alliance pour la majorité présidentielle (AMP), alliance de partis politiques du chef de l'Etat Joseph Kabila Kabange.Son père, Nissim Soriano, était un juif séfarade établit au Katanga. Le frère ainé de Moïse, Raphaël Katebe Katoto, est également un homme d'affaires et actif dans la politique. Ancien homme d'affaires ayant prospéré dans les pêcheries, le transport, il s'est surtout illustré comme président du club de football Tout Puissant Mazembe de Lubumbashi.
Un opérateur économique de renom. Avant d’être en politique à 42 ans, il fut à la tête d'une puissante société. Il est président depuis plus de 10 ans du club de football Mazembe champion de première division. Ayant obtenu lors des élections le plus grand nombre de voix (124.000 voix de préférence) comme parlementaire national, il est devenu gouverneur de la province du Katanga. Homme politique populaire et populiste, charismatique et généreux, il fut président de la communauté Bemba (SEMPYA). En 2009, il est l'objet du documentaire de Michel Thierry, Katanga Business.

Source : fr.wikipedia.org

Katanga : inauguration la prison de Kalemie réhabilitée par la Monuc sur financement du gouvernorat du Katanga.

Les Casques bleus du contingent béninois de la MONUC, au Katanga, viennent d'achever les travaux de réhabilitation de la prison centrale de Kalemie, financés par le gouvernorat de la province. L'état de délabrement dans lequel se trouvait le centre pénitencier favorisait les évasions régulières des détenus.
Les travaux de rénovation qui ont coûté 100.000 dollars américains, ont permis de reconstruire 10 cellules, deux cours de paillotes, quatre cachots, un bloc administratif, une infirmerie, un magasin, une cuisine, un parloir, un bloc de forces de sécurité ainsi que deux fosses septiques.
Pour le commissaire de district du Tanganyika, Maurice Kyoni Ngoy, et le chef de bureau de la MONUC, Aliou Kane, la réhabilitation de cette prison constitue «un grand motif de satisfaction, car malgré d'énormes difficultés rencontrées sur le terrain, le contingent béninois s'est bien acquitté de sa mission, et dans le délai requis».
Le Vice-gouverneur de province, Yav Tshibal, venu de Lubumbashi, a salué « la dextérité du génie militaire béninois». Il a demandé aux bénéficiaires d'en faire bon usage. Il a surtout salué la «bonne santé de la coopération entre la RDC, représentée par la Province du Katanga, et les Nations unies, à travers la MONUC».
Par ailleurs, il y a quelques semaines, le contingent béninois avait exécuté la construction du pont de Kankomba, au quartier Kalumbi. Il s'agit d'un ouvrage de 7m de long, 4m de large et 27 cm d'épaisseur, initié par l'Institut supérieur des techniques médicales (ISTM) et financé par la MONUC dans le cadre de ses projets à impact rapide (QIPS), pour un montant de 15.300 dollars américains.
C'est le troisième pont important construit par le contingent béninois sur la route de Kankomba. Grâce à ce pont, la circulation du centre ville vers l'ISTM est devenue facile pour les élèves, étudiants et autres populations. Le pont de Kankomba facilite surtout l'accès des milliers de personnes à l'hôpital du quartier Kalumbi.

Source : reliefweb.int

Le Chef de l’Etat Joseph Kabila attendu à Kisangani pour présider la première conférence des gouverneurs de provinces de l’année 2009.

La première conférence des gouverneurs de province de cette année va finalement se tenir à Kisangani, chef-lieu de la Province Orientale qui se prépare depuis plusieurs semaines à accueillir le Chef de l’Etat et le Premier ministre annoncés à ces assises
Le chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, présidera en début de semaine prochaine, la Conférence des gouverneurs de provinces de cette année 2009, prévue à Kisangani, chef-lieu de la Province Orientale. La source officielle qui a livré cette information n’a pas, cependant, précisé la date du démarrage effectif des travaux.Il convient de rappeler ici, que cette rencontre de Kisangani n’est pas un forum fortuit. Bien au contraire, il s’inscrit dans le respect de la Constitution du pays, spécialement en son article 200.
Dans cette disposition de la loi, le législateur dit : « il est institué une Conférence des gouverneurs de province.
Elle a pour mission d’émettre des avis et de formuler des suggestions sur la politique à mener et sur la législation à édicter par la République.La Conférence des gouverneurs de province est composée, outre les gouverneurs de province, du Président de la République, du Premier ministre et du ministre de l’Intérieur. « Tout autre membre du gouvernement peut y être invité. Elle se réunit au moins deux fois par an sur convocation de son Président. Elle se tient à tour de rôle dans chaque province ».C’est donc, en vertu de cette disposition de la loi que le Premier ministre Adolphe Muzito et le ministre de l’Intérieur Célestin Mbuyu, devront eux aussi, quitter Kinshasa pour la capitale de la Province Orientale.
Source : digitalcongo.net

Le T.P. Mazembe prendra part à la coupe de la Cecafa.

Le Tout-puissant Mazembe-Englebert de Lubumbashi prendra part à la Coupe d’Afrique de l’Est et du Centre (Cecafa) qui aura lieu du 30 juin au 12 juillet 2009 à Khartoum, au Soudan.
Cette compétition qui porte le nom du président rwandais Paul Kagame, son parrain, permettra aux corbeaux de Lubumbashi de parachever leur préparation pour la phase de groupes de la Ligue des champions d’Afrique qui commence le 19 juillet prochain. Conscient de l’opportunité, Mazembe a embarqué tous ses joueurs compétitifs pour les roder dans un test grandeur nature.
L’entraîneur Diego Garzitto avait un énorme embarras de choix sur une liste de 32 bons joueurs que compte le Tp Mazembe. Au fil des matches de l’Entente de Lubumbashi et de la Linafoot, en plus des matches éliminatoires de la ligue des champions, il a pu trier une ossature de 24 joueurs qui comprennent sa vision de jeu. Garzitto tient presque son équipe-type pour la ligue des champions qui est le grand objectif de la saison. Le tournoi de Khartoum présente le mérite d’opposer son équipe à des adversaires plus coriaces que les clubs affrontés localement et en tour qualificatif de la Linafoot.

Source : nyota.net

RDC-Energie : 6 milliards de dollars pour une nouvelle centrale hydroélectrique Inga III.

C’est le coût global estimé pour matérialiser le projet d’Inga III. A ce sujet, un atelier de deux jours est organisé par le ministère de l’Energie ce mercredi à Kinshasa. Il réunit les partenaires extérieurs et les experts congolais afin de réfléchir sur les voies et moyens du financement de ce projet, rapporte radiookapi.net
Les travaux de construction de la nouvelle centrale dureront 8 ans. La construction de ce barrage d’une capacité de 4 300 mégawatts consistera, entre autres, à l’élargissement de la vallée Kongolo. Il est avant tout question de résorber le déficit actuel en électricité dans le pays et à pourvoir à la demande extérieure déjà exprimée. Selon le ministre de l’Energie, la RDC dispose à ce jour des études de faisabilité élaborées par la firme SNC Lavallin, sur financement du gouvernement canadien.
L’enjeu de cet atelier est d’arrêter collégialement les stratégies et le schéma optimal qui tiennent compte des opportunités qui enchantent tous les acteurs intéressés par la réalisation de ce projet. Tout devra donc déboucher sur la solution appropriée pour la mise en œuvre des étapes ultérieures des études et des constructions de la centrale, les meilleures options pour la fiabilisation de la production et la rentabilisation dudit projet.
Source : radiookapi.net

Moïse Katumbi a sauvé la vie d'un pêcheur en débourssant 300 mille dollars pour les soins dans un hôpital américain.

Après son opération chirurgicale réussie à Dallas aux Etats-Unis d’Amérique, Kayumba Paul est de retour à Lubumbashi. Ce pêcheur de 31 ans a, il y a quelques mois, vu son bras être atrocement fracassé suite à l’attaque nocturne d’un crocodile dans le village Kashobwe au fin fond de la province du Katanga. Il y a bien longtemps que son histoire devait s’arrêter s’il n’avait pas rencontré un certain Moïse Katumbi sur le chemin de la vie. Ce dernier l’a fait voyager à Dallas aux Etats-Unis pour y suivre des soins appropriés où, en plus du service bénévole des médecins et infirmières américains, les soins sont évalués à plus ou moins trois cents mille dollars américains.
L’infortuné fut conduit sur fonds personnels du gouverneur à Dallas aux Etats-Unis d’Amérique. Pendant plus de deux mois, ce père de deux enfants a été interné dans un prestigieux hôpital américain. Là, il a été opéré par une équipe de trois spécialistes et quatre infirmières. Cette opération a duré six heures de temps. Au bout de compte, ce sont des nerfs réparés, des os renforcés… permettant à la main meurtrie de recouvrer la possibilité d’être complètement fonctionnelle.
Après trois mois maximum, après des séances de kinésithérapie, lui aussi, comme tant d’autres avant lui, a tenu à serrer la main de celui qui lui a redonné de nouveau l’espoir de vivre, à savoir la main du gouverneur Moïse Katumbi. Le docteur Kisela, qui a accompagné le malade dans ce voyage, a indiqué qu’à Dallas, ils ont été accueillis par une équipe médicale dont un spécialiste de la main, un autre chirurgien spécialiste plastique.
Ce médecin a fait savoir qu’il n’y a plus rien à faire pour le moment car, les os sont consolidés et il n’y a plus de plaie. Il ne reste que des séances de kinésithérapie que le malade lui-même doit pouvoir faire. Il pense que d’ici trois mois, le malade sera en mesure d’utiliser sa main comme auparavant.
Tout en exprimant sa gratitude au gouverneur Katumbi, Paul Kayumba, s’est dit impressionné par la générosité et le sens du bénévolat dont il a été bénéficiaire de la part de médecins et infirmières américains. Il soutient que le jour où les Congolais auront ce sens de générosité, ils construiront le Congo. C’est plus de 300 mille dollars américains qui ont concouru à cet exploit chirurgical. Il faut dire que la presse américaine a été impressionnée par cet événement, au point qu’elle en a fait largement écho.
Source: nyota.net

Formation du gouvernement : Jeannine Mabunda Lioko et Matungulu Mbuyamu dans la course pour remplacer Muzito.


Fidèle à sa promesse de procéder au moment opportun au remaniement du gouvernement, on croit savoir que le chef de l’Etat,Joseph Kabila serait prêt à passer à la vitesse supérieure d’autant plus que les jours se succèdent et nous rapprochent de la fin du mois de juin. C’est dans ce cadre que l’on annonce dans les coulisses, la probable nomination de Jeanine Mabunda, actuelle ministre du Portefeuille, au poste de Premier ministre en remplacement d’Adolphe Muzito. La personnalité, le parcours et la constance de cette dame sont des éléments qui militent en sa faveur d’autant plus qu’elle a réussi à mener, à bon port et contre vents et marrées, la réforme du Portefeuille de l’Etat.
On indique, par ailleurs, que plusieurs ministres de l’actuelle équipe gouvernementale cèderont leurs fauteuils à de nouvelles personnalités mieux aguerries, partageant la vision de Joseph Kabila et acquises à la cause de la patrie. La stratégie, cette fois-ci, semble être la promotion des personnalités intègres, pas forcement connues, mais disposées à conduire les affaires de l’Etat sous un nouveau jour.
Cette recherche d’hommes intègres capables de mieux gérer les finances publiques s’impose comme une nécessité absolue dans l’optique de la signature d’un programme formel avec le Fonds monétaire international qui a toujours reproché à notre pays le laxisme dans la gestion de ses finances publiques. La donne Fmi risque d’être un élément déterminant dans le choix de la nouvelle équipe et de son animateur.
C’est ce qui fait dire à certaines personnes mieux introduites dans les rouages du pouvoir que le futur Premier ministre serait un homme du Fmi. On cite, ainsi, le nom de Matungulu comme l’une des personnalités susceptibles de remplacer Adolphe Muzito à la Primature. Homme d’expérience, habitué aux rouages des institutions de Bretton woods, Matungulu parait être mieux à même de chapeauter, avec succès, le programme formel que le pays s’apprête à conclure avec le Fmi. Certains indices tendent à accréditer cette thèse notamment la récente restructuration de la banque centrale où un poste de conseiller général vient d’être créé et qui sera animé par un expatrié chargé d’assurer la coordination avec le Fmi dans le cadre du programme formel à conclure avec le Fmi.
Dans la perspective des échéances électorales de 2011, le chef de l’Etat qui ne tient nullement à rater le coche et, avant cette épreuve, à la réussite de son programme des 5 chantiers a besoin des collaborateurs sûrs, déterminés. C’est pourquoi les prochains changements trouveront leur fondement dans la consolidation de l’action de l’Exécutif dans le domaine du maintien de la sécurité, du rétablissement de l’autorité de l’Etat sans lesquels la Rd Congo ne pourrait prétendre à un développement durable et harmonieux.
Source : nyota.net

Football : Pape Diouf n'est plus le président de l'Olympique de Marseille.

Pape Diouf n'est plus le président de l'Olympique de Marseille. L'actionnaire principal du club phocéen, Robert Louis-Dreyfus l'a officialisé ce mercredi soir dans un communiqué : " Après cinq années de Présidence, Pape Diouf va quitter ses fonctions. Je tiens à le féliciter pour le travail accompli au sein du club. Il a été un grand Président qui a oeuvré pour le bien de l'Olympique de Marseille."
Après cinq ans passés à la tête de l'OM, Pape Diouf quitte donc ses fonctions mais Robert Louis-Dreyfus ne précise pas les raisons du divorce : "Malheureusement, les divergences apparues nous empêchent de poursuivre l'aventure", se contente-t-il de souligner.
On y voit un peu clair concernant les motifs du départ de Pape Diouf. Pape Diouf n'a pas accepté les conditions proposées par Robert Louis-Dreyfus pour rester à la tête du directoire de l'OM. Selon le quotidien La Provence, RLD aurait demandé la tête de Julien Fournier, secrétaire général du club et proche de Diouf. L'actionnaire de l'OM et son avocat (Xavier Bucobza) souhaitaient retirer à Fournier les "signatures du club dont il était titulaire". Diouf a refusé. Il ne voulait pas qu'un proche de RLD (Vincent Labrune ?) signe tous les documents administratifs et, notamment, les transferts, sujets très sensibles à Marseille.
On reprochait à Diouf le départ d'Eric Gerets alors que RLD lui aurait demandé de le conserver à tout prix. Son "lapin" au conseil de surveillance, mercredi dernier, était mal passé. Et les récentes déclarations du président, affirmant qu'il était le seul décideur à l'OM, avaient également irrité l'entourage de Robert Louis-Dreyfus.

AVENIR
"De nouveaux défis sont désormais à relever. Didier Deschamps, le nouvel entraîneur, les incarnera sur un plan sportif. Un nouveau Président sera nommé dans les prochains jours ", conclut le communiqué sur le site officiel de l'OM. Reste à savoir également comment vont réagir les supporters de l'OM : "Que ceux qui s'attaquent à Pape Diouf sachent qu'ils nous trouveront en travers de leur route et qu'ils ne seront jamais les bienvenus à Marseille", avaient-ils écrit dans un communiqué commun. Si le conflit RLD-Diouf a connu son épilogue, le climat est sans doute loin d'être apaisé à Marseille.

Source : Infos eurofoot tirées de sports.yahoo.fr

Cuivre : plus de 95% de hausse depuis Décembre 2008.

5 384 dollars : c'est le cours de la tonne de cuivre sur le London Metal Exchange (LME) en ce début du mois de juin. Depuis son point bas de 2 765 $ la tonne atteint le 24 décembre 2008, l'envolée magistrale du métal orangé est de plus de 95% à ce jour ! . Le cuivre laisse loin derrière tous ses concurrents.
Encore et toujours la Chine; en pleine récession, une telle hausse a de quoi surprendre alors que la demande de cuivre est l'une des plus sensibles à l'évolution du PIB : les industries électriques, électroniques, des transports et de la construction en absorbent plus de 80%.
Ainsi, il semble que le marché table sur une reprise aussi rapide que vigoureuse. Nombre d'indicateurs économiques plaident d'ailleurs en ce sens, notamment aux Etats-Unis et en Chine.
Réel ou fantasmé, le très attendu retour de la croissance n'explique pas tout. L'industrie de l'empire du Milieu non plus : aussi dynamique soit-elle, la consommation cuprifère chinoise ne représentait que 30% de la demande totale en 2008, et se tassait en fin d'année. Pourtant, la Chine est le facteur explicatif principal de la hausse actuelle.

Source : edito-matieres-premieres.fr