Le rêve des Congolais est "la renaissance du football "; qui est en train de prendre corps. Après plusieurs années de passage dans le désert, la RDC sportive est en train de renaître et de reprendre sa place d'antan avec beaucoup de force et de vitesse sur l'échiquier continental et international. Deux grandes personnalités congolaises, Moïse Katumbi et Amisi Tango Fort, s'y impliquent jusqu'au cou et ne jurent que par ce défi et, par conséquent, ne lésinent pas sur les moyens pour y parvenir. Volonté, ressources matérielles et financières, abnégation, organisation, vision lointaine, amour du football…, voilà notamment les armes de ces deux mécènes du football congolais.
Cloîtré dans son coin natal du Katanga, loin du brouhaha urbain et malsain Kinois, Moïse Katumbi ne jure que par le développement du sport congolais, spécialement du football. Partagé entre les charges politiques et sa passion footballistique, Moïse Katumbi donne à ses deux charges d'évoluer positivement, à la satisfaction et des gouvernés et des sportifs, les deux se confondant joyeusement.
Le sportif Moïse Katumbi nous donne une grande leçon pour réussir dans ce que l'on est appelé à entreprendre dans la vie. En plus de moyens financiers qu'il faut pour réussir dans une entreprise, la volonté, la passion, l'abnégation, l'organisation, la vision reste des atouts majeurs si l'on tient à réussir à tout prix.
Sans beaucoup de bruits tapageurs comme le feraient bien de politiciens kinois, Moïse Katumbi Chapwe reste un homme qui est pétri d'une volonté inébranlable de réussir, renforcée par une passion de la chose faite et une organisation impeccable. Le tout couronné par une vision lointaine d'un bon manager qui sait ce qu'il fait et qui fait bien ce qu'il sait.
Sa vision, c'est de faire du Tout-Puissant Mazembe, son équipe chérie, une grande école de football, aussi bien sur le plan national qu'africain, voir international. Pour cela, il n'hésite pas à lui donner les moyens tant financiers que matériels. Ses joueurs, il les traite gracieusement en les mettant à l'abri de tout besoin financier et matériel de nature de les pousser à prendre la poudre d'escampette. Pour leur permettre de devenir des stars, il n'hésite pas à mettre la main à la poche pour leur offrir des services d'un entraîneur de leur niveau.
Introduire insidieusement le professionnalisme, tel une dose de médicament, dans le football congolais, Moïse Katumbi s'y met sans voir sa bourse. Voilà pourquoi il s'offre sans compter les services de plusieurs joueurs étrangers, particulièrement africains.
En plus, il met ses joueurs dans des conditions telles qu'ils n'auront pas à s'en plaindre. Voilà le stade KIbasa Maliba, un stade de l'intérieur qui n'a rien à voir avec le stade Tata Raphaël en plein Kinshasa qui n'a de stade que le nom.
Grâce au niveau atteint par Le Tout-Puissant Mazembe, la RDC n'a pas eu beaucoup de peine à arracher le tout premier championnat national de football africain en Côte d'Ivoire, l'ossature de l'équipe nationale congolaise étant constituée majoritairement de joueurs du TP Mazembe.
Cloîtré dans son coin natal du Katanga, loin du brouhaha urbain et malsain Kinois, Moïse Katumbi ne jure que par le développement du sport congolais, spécialement du football. Partagé entre les charges politiques et sa passion footballistique, Moïse Katumbi donne à ses deux charges d'évoluer positivement, à la satisfaction et des gouvernés et des sportifs, les deux se confondant joyeusement.
Le sportif Moïse Katumbi nous donne une grande leçon pour réussir dans ce que l'on est appelé à entreprendre dans la vie. En plus de moyens financiers qu'il faut pour réussir dans une entreprise, la volonté, la passion, l'abnégation, l'organisation, la vision reste des atouts majeurs si l'on tient à réussir à tout prix.
Sans beaucoup de bruits tapageurs comme le feraient bien de politiciens kinois, Moïse Katumbi Chapwe reste un homme qui est pétri d'une volonté inébranlable de réussir, renforcée par une passion de la chose faite et une organisation impeccable. Le tout couronné par une vision lointaine d'un bon manager qui sait ce qu'il fait et qui fait bien ce qu'il sait.
Sa vision, c'est de faire du Tout-Puissant Mazembe, son équipe chérie, une grande école de football, aussi bien sur le plan national qu'africain, voir international. Pour cela, il n'hésite pas à lui donner les moyens tant financiers que matériels. Ses joueurs, il les traite gracieusement en les mettant à l'abri de tout besoin financier et matériel de nature de les pousser à prendre la poudre d'escampette. Pour leur permettre de devenir des stars, il n'hésite pas à mettre la main à la poche pour leur offrir des services d'un entraîneur de leur niveau.
Introduire insidieusement le professionnalisme, tel une dose de médicament, dans le football congolais, Moïse Katumbi s'y met sans voir sa bourse. Voilà pourquoi il s'offre sans compter les services de plusieurs joueurs étrangers, particulièrement africains.
En plus, il met ses joueurs dans des conditions telles qu'ils n'auront pas à s'en plaindre. Voilà le stade KIbasa Maliba, un stade de l'intérieur qui n'a rien à voir avec le stade Tata Raphaël en plein Kinshasa qui n'a de stade que le nom.
Grâce au niveau atteint par Le Tout-Puissant Mazembe, la RDC n'a pas eu beaucoup de peine à arracher le tout premier championnat national de football africain en Côte d'Ivoire, l'ossature de l'équipe nationale congolaise étant constituée majoritairement de joueurs du TP Mazembe.
L'espoir de voir sortir notre football de la lourde léthargie qu'il était plongé depuis une trentaine d'années est maintenant permis. Si le football renaît, ce sont tous les sports congolais qui vont sortir de leur torpeur. Moïse Katumbi et Amisi Tango Fort sont sans conteste parmi ceux qui auront permis à relever ce défi. Si le vent du professionnalisme souffle dans le football congolais, leur contribution y est fort remarquable. Ils auront alors marqué d'un sceau indélébile leur passage sur cette terre congolaise. La postérité sportive leur en saura infiniment gré.
Source : Lobservateur.cd