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mercredi 17 juin 2009

A quand la Destinée voulue du peuple Congolais? Lecture matérialiste de l'Hymne national Débout Congolais.

Cinq fois, le nom Congo est prononcé dans l’Hymne. Don béni, le Congo devenu souverain reste toujours convoité. D’où le congo (= bruit, conflit, guerre, etc.). Si le Congo est un Don béni, son peuple semble être maudit à cause de sa richesse. Qui aimerait voir tous les Congolais riches ? L’ennemi du Congolais est Congolais.
Au nom de certains intérêts, certains Congolais n’hésitent pas à spolier son concitoyen, à exploiter ses semblables, à écraser ses propres sœurs et frères, à tuer son alter ego, etc. Ce Congo des aïeux est devenu une terre de déplacés des guerres, une terre exploitée par des multinationales. Combien de Congolais ne sont-ils pas déplacés de la terre des aïeux au nom des Investisseurs, et ce parce que les minerais sont une source de richesse ? Richesse pour qui et pour quoi faire ?
Le Congo provoque le congo (bruit). Loin d’être un Congo bien aimé par les Congolais, le Congo est devenu mal aimé. Certains Congolais vivant à l’étranger n’aimeraient plus rentrer au Congo à cause du congo (bruit).
S’il en est ainsi, comment et quand allons-nous nous référer à nos aïeux ? Faisons nôtre le sens du Debout Congolais et nous serons fiers de nos aïeux. Ainsi nous assumerons notre Passé et nous n’ hypothéquerons pas notre Futur. Et nous aurons une Destinée voulue et non un destin subi.
Source : louis-mpala.com

Lecture matérialiste du mandat de Laurent-Désiré Kabila.

Il y a un contexte présupposé qui conditionne l’ensemble de l’activité de parole : lorsqu’on entreprend de parler, nous dit LATRAVERSE, on présuppose que ce qu’on dit a un sens repérable [je souligne] que certaines expressions qu’on utilise ont une référence identifiable (…), qu’autrui dispose de moyens permettant de comprendre ce qu’on lui dit (…) ». Le sens repérable et la référence identifiable sont ici ce que Paul Ricoeur appelle espace d’expérience, le PASSE PRESENT.
Notre passé lointain et récent est présent, car il est notre référence. C’est le contexte-prétexte et L. D. KABILA l’analyse : « Mais le régime (…) a plongé dans l’irresponsabilité illimitée. Chose que Mobutu a reconnu, parce qu’il ne faisait que s’étonner sur le bateau [Outenika] (…). Ils [les Blancs] nous ont pris pour des gamins* (…).
Un grand pays où l’on trouve la végétation la plus luxuriante et où les gens ne cultivent pas parce que nous sommes condamnés à vivre avec l’occident alors que nous sommes riches ». C’est un passé où « le pays (…) était alors dirigé par un Etat anti-peuple, un Etat dont la mission essentielle était de défendre les intérêts étrangers et de contenir le courroux des populations congolaises exploitées afin de permettre à ces intérêts étrangers de saigner à blanc la RDC. Les résultats, c’est la création de la misère un peu partout. C’est l’économie dite ravageuse extravertie.
[Et à ce propos, en 1993, Kabila avait adressé une lettre de 17 pages à Mobutu où il disait entre autres : « Cessez d’avec la civilisation de la cueillette pour opter pour celle de la productivité ».Toutes les critiques, dit KABILA, ont convergé pour dire que l’Etat d’alors n’était pas autre chose qu’une sorte de garde-chevaux. Un Etat qui avait une seule mission : que les intérêts des grands pays et des petits pays priment sur l’intérêt national. Le caractère répressif de cet Etat est là. [C’était un] Etat-compradore (…), un gouvernement pour la sauvegarde des intérêts non nationaux, un gouvernement de marionnettes, un gouvernement actionné de l’étranger. (…). C’était la courroie de transmission des directives de l’étranger et qui oeuvrait uniquement à protéger les intérêts (je souligne), et vous êtes tous au courant, poursuit Kabila, on parlait des intérêts des Américains, des Français, des Belges… mais jamais des intérêts du peuple congolais. Et vous savez que cet Etat-là, conclut KABILA, l’Etat-compradore a trop duré. Il avait créé une culture, des habitudes dans le mode de production, de la pensée… le comportement des citoyens.
Source: louis-mpala.com

Mines en R.D.C : Rapport accablant du Sénat.

Les produits miniers, en RDC, sont exportés sous des appelations qui ne sont pas conformes aux usages dans le secteur. Par ailleurs, le poids des produits est sous estimé dans des proportions qui dépassent tout entendement. C’est ce que revèle le rapport de la commission d’enquête sénatoriale sue le secteur minier.
Ce rapport, qui devrait être examiné dimanche par la plénière du sénat, a été renvoyé à la session de septembre. Le sénateur Lokondo, à la suite d’une motion, a estimé qu’à la veille de la clôture de la session, qu’il n’y avait pas assez de temps pour traiter une question si importante.
L’enquête initiée par le Sénat à l’issue de l’examen du budget 2008 avait pour but de recenser les entreprises minières et de collecter leurs statistiques de production, d’exportation et de commercialisation. Cela, afin, de capter l’intégralité des recettes du trésor public générées par ce secteur et, ainsi, améliorer leur contribution au budget de l’Etat.
D’après les conclusions du rapport, les statistiques ne sont pas tenues selon les exigences de la loi. Aucun service de l’Etat préposé à la gestion du secteur minier n’est à jour pour rassembler les données fiables susceptibles de connaître le nombre des produits exportés.
Ce qui est étonnant est que les statistiques, sur toutes ces rubriques, note le rapport, sont différentes dans un même Etat, d’un service à un autre.Concernant la sous-évaluation des produits, le rapport indique par exemple : « une quantité de produits pesant 33 tonnes peut, par la volonté d’un fonctionnaire, être reduite à 3,3 tonnes ». Le rapport déplore l’octroi désordonné des carrés miniers sur l’ensemble du territoire national au mépris du code minier, qui lui-même, d’après le rapport comprend plusieurs dispositions inefficaces.
Source : Kongotimes.infos

RD Congo : 38 millions de dollars US requis pour assister les civils dans le Nord Kivu et Sud Kivu.

La communauté humanitaire a lancé ce 17 juin un appel pour 38 millions de dollars US afin d'apporter de l'aide à près d'un million de personnes dont les conditions de vie déjà précaires se sont détériorées ces derniers mois à la suite d'attaques armées et des opérations militaires en cours à l'Est de la République Démocratique du Congo. Ces fonds permettront d'aider les populations vivant principalement dans les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu où 800 000 personnes se sont déplacées à l'intérieur du pays depuis le début de l'année.
Les femmes et les enfants sont les premières victimes. Les populations semblent vivre dans un climat quasi permanent de mouvement tant les cycles de déplacement interne et de retour sont liés. 780 000 personnes sont retournées dans le Sud Kivu, tandis que ce chiffre se situe à 300 000 dans le Nord-Kivu. A ce jour, on estime à 1,7 million le nombre total de personnes déplacées internes sur l'étendue du territoire congolais. Ces mouvements continus de populations posent également des problèmes aux acteurs humanitaires, rendant la planification de l'aide plus complexe.
Au Nord Kivu, plusieurs semaines d'opération militaire et d'instabilité ont engendré une situation humanitaire précaire caractérisée par les déplacements massifs de populations, tueries, actes de violences sexuelles, absence de protection et autres violations des droits de l'homme. Des problèmes humanitaires tels que la destruction des écoles, la détérioration des systèmes d'approvisionnement en eau potable et des systèmes de santé, et la faible prise en charge des cas de violence sexuelle se sont accentués et nécessitent aujourd'hui des nouveaux financements. 23 millions de dollars US sont ainsi requis pour, entre autres, l'éducation, la logistique, les biens non alimentaires, la protection, l'eau et l'assainissement, ont indiqué les acteurs humanitaires du Nord Kivu.
La situation au Sud-Kivu est un reflet de celle du voisin du nord où les besoins humanitaires sont estimés à 15 millions de dollars US. 1 135 cas de viol ont été enregistrés pendant les trois premiers mois de l'année 2009, un chiffre qui représente plus de la moitié des cas enregistrés dans la province en 2008 ; plus de 350 000 personnes ont été contraintes d'abandonner leurs maisons ; des milliers d'enfants ont délaissé les bancs d'école, selon les acteurs humanitaires.
« La situation actuelle nous a quasiment ramené à la case départ. Des nouvelles contributions permettront de sauver des vies, et aux humanitaires de maintenir une capacité de réponse » a dit le Coordonateur Humanitaire Ross Mountain à Kinshasa. Il a ajouté que les donateurs avaient déjà fait preuve de générosité.
Huit mois après le lancement d'un appel de fonds de 800 millions dollars US dans le cadre du Plan d'Action Humanitaire 2009, les contributions s'élèvent à ce jour à plus 408 millions de dollars US, une contribution « remarquable » de 49%, a dit M. Mountain.
Par ailleurs, le Pooled Fund- un mécanisme de financement initié en 2005 qui permet le financement des projets à travers une enveloppe commune- a alloué depuis le début de l'année 25 millions dollars US à ces deux provinces. Le Fonds Central d'Urgence (CERF), qui représente un troisième outil de financement, a également alloué 10 millions de dollars US pour près de 200 000 déplacés internes en Province Orientale, et 3 millions de dollars US pour le service aérien humanitaire.
Cependant, les acteurs humanitaires ont plaidé aujourd'hui pour des nouveaux financements car les besoins à ce jour ont dépassé les contributions reçues et les humanitaires craignent une aggravation de la situation.
Parallèlement à l'appel de fonds, la communauté humanitaire a aujourd'hui appelé à une meilleure protection. Elle a exhorté les autorités congolaises, en tant que premier responsable, à améliorer la protection des civils et celle des travailleurs humanitaires. Les vols, agression physiques et autres actes de banditisme dont les humanitaires sont victimes pourraient compromettre le bon fonctionnement de l'assistance humanitaire, ont-ils indiqué. Depuis janvier 2009, 61 actes de violence contre les acteurs humanitaires ont été enregistrés dans le Nord Kivu.
Les combattants des groupes armés tels les Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR) et l'Armée de Résistance du Seigneur (LRA), et les soldats des Forces Armées de la RDC (FARDC) sont à l'origine de la crise de protection, selon les civils et les acteurs humanitaires. Des actions de plaidoyer, tant à Kinshasa que dans les localités concernées, sont en cours afin d'exhorter les autorités congolaises à mieux remplir leur devoir de protection envers ces deux groupes.
« Les mois à venir seront éprouvants pour des milliers d'hommes, femmes et enfants. Une fois de plus, des vies sont menacées, et sans soutien additionnel, nous manquerons à notre responsabilité » a dit Mountain au nom de la communauté humanitaire.
Source : Infos OCHA tirées de Reliefweb.int

Rétrocession de 40 % des recettes aux provinces : gouverneurs et députés provinciaux prêts à traduire le gouvernement devant la justice.

Les gouverneurs de province se sont lancés depuis le début de l'année dans une vaste campagne de sensibilisation pour l'application de la politique de la rétrocession de 40% des recettes.
La politique de la rétrocession des 40% de recettes aux provinces refait de nouveau surface sur la scène politique congolaise. En effet, les gouverneurs et députés provinciaux envisagent de lancer de poursuite judiciaire contre le gouvernement central pour non respect des engagements dans la politique de rétrocession des 40 % des recettes allouées aux provinces, conformément à la constitution.
Dès le début de l'année ; les gouverneurs de provinces de la République démocratique du Congo et les députés provinciaux ont rencontré le président de la République ; les présidents du Sénat et de l'assemblée nationale sur la nécessité pour les provinces de bénéficier de cette rétrocession des 40% des recettes ; conformément à la constitution de la Rdc ; en vue de réaliser les cinq chantiers de la République. Les dirigeants provinciaux du Bas-Congo ; du Katanga ; du Kasaï oriental ; de la Province Orientale se sont lancés depuis le début de l'année dans une vaste campagne de sensibilisation pour l'application de la politique de la rétrocession de 40% des recettes.
« Trois ans après les élections présidentielle et législative et l'adoption de la constitution ; force est de constater que le gouvernement central refuse toujours d'appliquer la politique de rétrocession des 40% aux provinces. Alors que la constitution est on ne peut plus claire là-dessus », a dit le président de l'assemblée provinciale du Bas-Congo, François Kimasi Matuiki Basaula. Et d’ajouter : « Je crois qu'il est temps pour les provinces de bénéficier de cette rétrocession pour soutenir l'effort de la reconstruction. Surtout que la population va nous demander des comptes lors des prochaines élections municipales ». Celui-ci a accusé le gouvernement central de chercher à asphyxier les gouvernements provinciaux et à empêcher le développement des provinces, en refusant de procéder à la rétrocession des 40% des recettes. François Kimasi a également rejeté la décision prise par le gouvernement central ; il y a quelques mois, qui attribue les recettes aux provinces sur base de critères lié au poids démographique.
Là c'est une vraie supercherie du gouvernement central. Cela ne se trouve nulle part dans la constitution », a-t-il martelé.

L'impasse

"Il faut rappeler que depuis l'année dernière, un bras de fer oppose les assemblées provinciales au gouvernement central. Les parlementaires provinciaux ont toujours exigé que le gouvernement central respecte le texte constitutionnel en procédant à la rétrocession effective des 40% des recettes à caractère national destiné aux provinces. Les députés provinciaux accusent également le gouvernement central de ne pas respecter la rétrocession de 40% des recettes dans le budget 2008. " Cela n'a pas été faite malheureusement.
Comment alors réaliser les programmes de reconstruction de nos provinces " a souligné un député provincial. Des sources concordantes indiquent que les gouverneurs des provinces et les députés provinciaux vont constituer une délégation qui viendra, dans les prochaines semaines à Kinshasa, pour rencontrer le président de la République, le Premier ministre, les présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale afin d'examiner cette question de rétrocession de 40 % des recettes nécessaires à la reconstruction économique et sociale des provinces. " La rencontre entre les dirigeants provinciaux et le chef de l'Etat et le Premier ministre permettra à coup sûr de mettre fin aux différends qui opposent les différents partis et l'application stricte de cette disposition de la Constitution de la RDC ", a déclaré un député de la province du Katanga.
Il faut rappeler qu'au mois d'août 2008, les membres du gouvernement d'Antoine Gizenga et les représentants des Assemblées provinciales se sont concertés à l'Hôtel du gouvernement sur la nécessité d'appliquer la rétrocession des 40 %. L'ancien 1er ministre Antoine Gizenga les a rassuré de sa volonté d'appliquer cette politique de rétrocession des 40 % de recettes allouées aux provinces au début de l'année 2009. Force est de constater malheureusement que rien n'a été fait jusqu'aujourd'hui.
Source : lobservateur.cd

Lubumbashi : Muyambo Park ouvre ses portes au mois de Juillet 2009.

Un mini parc dénommé Muyambo Park est en gestation à Lubumbashi. C'est un type particulier de parc proposant aux visiteurs diverses variétés des animaux. Citons notamment ; les dromadaires, les giraffes, les zèbres, les oiseaux... et des activités diverses destinées à détendre, amuser, divertir les visiteurs.
Une grande réserve à la fois naturelle et artificielle où le rêve animal et végétal sont à la portée de tous. Conserver et protéger la faune et la flore sont ses préoccupations. Avec ses 53 ha, le parc regorge des espèces rares.
Vous rêvez d’une vraie promenade sur un dromadaire comme au Sahara ?
Avez-vous envie de visiter un parc moderne ?
Alors cessez de rêver …..faites le plein de sensations en visitant Muyambo Park à Lubumbashi au Katanga, avec plus d’une vingtaine d’espèces animale. Ce mini parc sera ouvert au public au mois de Juillet 2009.

Source : solidaritekatangaise.org

Lubumbashi : examen de l’avant projet de loi sur les micros finances.

Un atelier s’est ouvert lundi dernier à Lubumbashi en vue d’examiner l’avant projet de loi sur les micros finances. Les participants ont 3 jours pour se pencher, entres autres, sur les conditions d'accès aux micros finances et déterminer qui peut en être promoteur. A la fin, ce projet sera présenté à l'Assemblée nationale. D'après le directeur provincial de la Banque centrale du Congo, BCC, les bénéficiaires des micros finances doivent être encadrés afin d’éviter des dérapages, rapporte radiookapi.net
Hamed Kalej Kant justifie ce projet de loi du fait que les activités de micro finance répondent à un besoin réel : « C’est qu’il y a une frange importante de la population qui, dans le fait, est exclue des services de la banque classique, parce qu’ils n’ont pas le revenu qu’il faut, ou parce que leurs activités ne sont pas suffisamment grandes pour pouvoir être servies par la banque classique. Alors, ces personnes s’organisaient différemment dans de petites mutuelles, des ONG et manipulaient de l’argent. »
En terme de dérapages, le directeur provincial de la Banque centrale du Congo évoque notamment l’épisode de l’ONG Dutch international : « Il y a des personnes ou des groupes de personnes qui récoltent de l’épargne et qui octroient du crédit. Quand ça se fait sans être encadré, ça peut produire n’importe quoi. Vous avez suivi très récemment le cas de Dutsh. Donc, c’est pour éviter ce genre de dérive que la Banque centrale, qui est l’autorité qui a la charge de protéger l’épargne du public, a initié cette loi pour encadrer un fait et réglementer ce secteur. »Les participants à cet atelier viennent du Kasaï Oriental et du Katanga. Parmi eux, des scientifiques, des avocats ainsi que ceux qui oeuvrent dans les structures des micro- finances.
Source : radiookapi.net

"Signalons que les souscripteurs de l'ONG Dutch International n'ont jamais béneficié de leur mises malgré l'opération d'enregistrement qui a été initiée par le ministère provincial de l'Intérieur, décentralisation et affaires coutumières l'année dernière."

La route Kasenga : pose de la couche de roulement.

Sous la supervision de l’Agence congolaise des grands travaux, l’entreprise chinoise Crec a commencé à couler la troisième couche de goudron sur la route Kasenga où les travaux de réhabilitation se poursuivent normalement. Ces travaux iront pour l’instant jusqu’au village Malambwe, à 60 km de Lubumbashi. Les travaux de réhabilitation de ce tronçon routier qui au finish reliera la province du Katanga et la Province Orientale en passant les provinces de Maniema et de deux Kivu, s’étendrons sur cinq ans.
Pour l’ingénieur Willy Monda Tonda de l’Agence congolaise des grands travaux, qui supervise cet ouvrage, la population congolaise dans son ensemble doit faire confiance au chef de l’Etat. Car, a-t-il dit, « il faut que la population croit aux actions du chef de l’Etat. Il faut également faire confiance aux autorités provinciales et locales ». Cet ingénieur a fait savoir que cette étape est la dernière étant donné qu’il n’est plus question de poser la couche de protection. Il est question pour le moment de poser la couche de roulement qui va permettre aux véhicules de rouler normalement.
Source : Nyota.net

Journée de l'enfant Africain : « investir dans les droits de nos enfants pour un avenir radieux du Congo ».

Le monde célèbre a célebré le 16 juin, la journée de l’enfant africain. Le thème retenu par l’Union africaine cette année est « pour une Afrique digne des enfants : un appel accéléré en vue de leur survie ». Mais en RDC, le thème national « investir dans les droits de nos enfants pour un avenir radieux du Congo » vient compléter celui continental, rapporte radiookapi.net.
Pour Marie-Ange Lukiana, ministre de Genre, Famille et Enfant, la situation de l’enfant du Congo est encore préoccupante : « Il a des problèmes de santé, de scolarité, de pauvreté. Il y a beaucoup d’enfants qui sont encore en errance dans le cadre des populations déplacées. Nous avons encore des enfants dans la rue. Donc, la situation est encore préoccupante. C’est pour cela le chef de l’Etat et le gouvernement tiennent bon pour propulser les actions adéquates ». Face à la situation actuelle des enfants congolais, certaines opinions estiment que l’Etat congolais apparaît comme un parent démissionnaire, reconnaît la ministre : « vous savez que nous venons de loin. Depuis les années 90, notre population s’est mise à décrier le système qui ne protégeait plus l’individu y compris l’enfant. Naturellement, pour réhabiliter toute cette situation, ainsi que le bien être de la population dans sa vie quotidienne, il faut un minimum de temps ».
Source : radiookapi.net